L'affaire des lasagnes a suscité un tollé. Ce n'est pourtant qu'une des vilaines recettes d'une industrie obsédée par les marges. Pour réduire les coûts, elle assemble des rebuts achetés au rabais dans le monde entier, qu'elle labellise "made in France". Et assaisonne d'additifs nos plats préparés. Plongée dans la petite cuisine de l'agroalimentaire.
Lu dans : "Le Nouvel Observateur", n° 2521, 28 février 2013, p. 80-87
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