François Cheng, "immortel" depuis 2003 |
Réfugié en 1949 dans un pays dont il ne parlait pas un mot,
l'académicien, qui a connu le dénuement, a écrit, dans notre langue, des livres
de célébration.
Lu dans : "La Croix" , jeudi 16 juillet 2015, p. 22
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