C'est vrai, les journalistes étrangers ne sont pas toujours tendres avec notre pays, mais ils baissent parfois la garde, attendris par un cassoulet longuement mijoté et fondant, séduits par une promenade ombragée et toujours attentifs à l'inattendu, aux personnages et aux coins de paradis qui se nichent dans les régions françaises.
Lu dans Courrier International, supplément au n°1291, du 30 juillet au 19 août 2015
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