Et si le référendum britannique était l'occasion de s'interroger
sur l'emploi de l'anglais, du "globish" ("Global English") ? Qui est aussi la
langue de la mondialisation.
Contrairement au mythe de Babel, la malédiction
serait que les hommes ne disposent plus que d'une seule langue, d'une unique et
même façon de penser.
Photo Arnhel de Serra pour Libération |
Lu dans : Libération, 23 mai 2016, p.20-21
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