Frédéric Beigbeder, dans son Premier Bilan après l'Apocalypse (Grasset) voit le format numérique comme une fin du monde de l'écrit et refuse d'être lu sur un écran. François Bon, qui publie Après le livre (Le Seuil), souhaite au contraire que les auteurs accompagnent la mutation en cours. Rencontre.
(La vidéo du débat ici)
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