Le 39e festival du court métrage de Clermont-Ferrand
s'est achevé samedi. Plusieurs centaines de réalisateurs du monde entier auront
attiré, en une semaine, 160 000 spectateurs pour cette édition 2017. Pourtant, si le court métrage peut être
considéré comme une école de la liberté, peut-on, néanmoins, en vivre ?
Lu dans :
"La Croix" , vendredi 10 février 2017, p. 15
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