Mauvais en langues, les
Français ? C'est leur réputation. Dommage. Car les vertus du multilinguisme sont
nombreuses. Et si beaucoup se joue dès l'enfance rien n'est définitif. Le défi
est moins d'apprendre que de persévérer dans la pratique.
Lu dans :
"Les Echos", suppl. week-end, vendredi 14 et samedi 15 avril
2017, p. 57-61
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